Le concept du bonheur au travail est décrié dans plusieurs articles comme une véritable quête du St-Graal moussée par des jovialistes qui n’ont aucune idée des défis réels que doivent relever les entreprises. Ils reviennent sans cesse sur l’exemple simpliste de la table de babyfoot qui devait régler tous les problèmes pour appuyer leurs dires et ne jamais aborder ce problème insolvable selon eux. Et si le bonheur au travail devenait un incontournable pour garder vos employés, quel serait votre solution pour éviter la grande démission? Le monde du travail vit un changement draconien qui n’en est qu’à ses premiers balbutiements. Kodak avait beau être un géant mais il a nié l’évidence du numérique et lorsqu’il a tenté de corriger le tir, il était trop tard. Uber a chambardé le monde du taxi qui a tardé à se réajuster. Amazon, Facebook, AirBnB sont d’autres exemples de modèle qui ont forcé l’adaptation drastique du modèle d’affaire. La pandémie a tout changé. Les entreprises font face à l’immense défi de garder leurs employés. Si comme Kodak, vous pensez que votre nom et vos conditions de travail sont suffisantes pour les garder, vous allez être surpris du nombre d’employés qui vont succomber au chant des sirènes d’une autre entreprise. Plusieurs entreprises vivent le cercle vicieux suivant : Ils perdent des employés, ne peuvent pas recruter, les tâches sont réparties sur les employés restants qui sont surchargés et démissionnent, surchargent les derniers survivants et ainsi de suite… Ça fait plus de 10 ans que les Y envoient le message que le monde du travail doit changer. Il s’est écrit des centaines de livres pour trouver le moyen de les faire rentrer dans le rang. Ça ne fonctionne pas de toute évidence… Les autres générations commencent aussi à formuler des demandes. Pourquoi résister à ce qui est? On a parlé abondamment de l’équilibre travail-famille depuis 20 ans sans grand changement structurel. Le tsunami de la pandémie a ébranlé les paradigmes et fait bouger les choses pour certaines entreprises résistantes ou hésitantes. Dans ce contexte de nouvelle réalité (télétravail, banque de jours de maladie pour s’occuper des enfants malades, horaire flexible, semaine de 4 jours, etc…), forcés d’admettre que tout le monde y trouve son compte. Plusieurs études le démontrent, la productivité n’a pas baissé. La prochaine étape va vraiment vous différencier comme entreprise. Même si vous trouvez que des pas de géant ont été franchis, vous êtes sur le même pied d’égalité que les autres entreprises. Je vous invite à réfléchir sur les mots que vous utiliserez dans le futur pour définir votre culture d’entreprise et baser votre marque employeur vous permettant d’attirer les employés que vous désirez. Je vous offre 3 énoncés
Pour certains, ces 3 énoncés sont des synonymes. Les 2 premiers sont utilisés régulièrement pour définir les actions de l’entreprise pour prendre soin de leur employé. Le 3e est très rarement utilisé mais pourtant, ça semble un synonyme des 2 autres. Lorsqu’on parle de qualité de vie au travail, ça semble un beau concept mais l’engagement de l’entreprise demeure seulement à l’environnement du travail dans lequel il est effectué. On peut offrir des beaux bureaux ou une usine 4.0, des horaires flexibles, des règles sans harcèlements claires et diffusées, une belle cafétéria et on peut dire à tous qu’on a un milieu qui offre une qualité de vie au travail. En général, c’est assez facile pour l’entreprise de rencontrer ces critères, car elle a le contrôle sur le budget et les projets. Lorsqu’on parle de mieux-être au travail, on doit alors se préoccuper de l’individu dans son quotidien et commencer à effectuer des actions plus ciblées envers certains groupes d’employés. Juste le changement des mots demande un engagement plus grand de l’entreprise. On doit consulter les groupes et les équipes et cibler les projets qui semblent plus rassembleurs pour les mettre en place. Lorsqu’on parle de bonheur au travail, on cible chaque employé sans exception. Imaginez que vous avez mis en place dans votre entreprise une culture qui peut prendre en charge le bonheur de chacun de vos employés. On entend parler souvent de l’expression : « les employés font partie de la famille » ou « c’est comme une grande famille » Vous allez me dire, Yvon, c’est utopique. Il est impossible de rendre heureux 100% des employés peu importe le montant que je mettrais dans le projet. Je vais devoir vous donner raison. Par contre, si vous avez déployé plusieurs moyens pour démontrer réellement que votre intention est de tout faire pour rendre chacun de vos employés heureux, pensez-vous que vous allez avoir de la difficulté à garder vos employés? Si vous êtes au niveau de la QVT, vous devez impliquer vos gestionnaires et vos équipes pour passer au 2e niveau. Il y a une confiance qui doit être ressentie de la part des équipes pour réussir ce niveau mais les gains sont immenses. On ne peut pas parler de bonheur au travail sans avoir bâti une relation de confiance à l’aide des projets de mieux-être du 2e niveau. Pour vraiment s’occuper du bonheur des employés, il faut que tous les employés participent et sentent qu’ils seront épaulés par leurs collègues et la direction. Seulement là, on peut parler de famille. Il y a des entreprises qui sont très avancées dans les projets de niveau 2, qui voudraient en faire plus mais qui se sentent bloquées. C’est le temps d’y aller à fond et d’impliquer tous vos employés dans la création de leur propre bonheur au travail. J’ai personnellement décidé de titrer ma conférence de Bonheur au travail et non de mieux-être au travail pour me challenger et sortir de ma zone de confort. À quel niveau désirez-vous être dans 3 à 5 ans? Le monde du travail change et le bonheur au travail devient un incontournable. Je vous laisse sur cette pensée de Baden-Powell : « Le bonheur ne vient pas à ceux qui l’attendent assis » Yvon Lamontagne www.yvonlamontagne.com Conférencier, coach et auteur en mieux-être et bonheur au travail
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Vous n’avez pas l’environnement de travail envié par tous vos amis? Vous n’avez pas votre massage sur chaise hebdomadaire inclus dans vos avantages sociaux? On vous promet de nouveaux locaux derniers cris lors du prochain déménagement mais le tout tarde à se concrétiser. Malgré toutes les tables de babyfoot et les petites attentions, la qualité de vie au travail est un défi quotidien autant pour les entreprises que pour les employés. Que peut-on faire maintenant pour combler notre quotidien et être heureux au travail?
La notion de bonheur au travail ou être heureux au travail est tellement personnelle que si on laisse à l’entreprise la responsabilité de prendre soin de notre bonheur, il y a de fortes chances qu’on reste sur notre appétit. Même si elle met en place des dizaines de mesures, rien ne garantit qu’elles soient profitables pour chaque employé. Je vous propose de prendre en main quotidiennement votre bonheur en utilisant simplement ces 5 petites questions et vous assurer de répondre à chacune d’entre elles. 1. Suis-je COMPLÈTEMENT heureux actuellement? Même si cette question peut vous sembler ésotérique ou simpliste, la réponse est simplement un oui à 100% (sans aucun doute) sinon c’est un non. Votre réponse devrait être spontanée et venir de votre cœur et non de votre tête. Vous allez me dire qu’il n’y a rien de parfait, je vous l’accorde. Mais cette première question a la force de nous contraindre à regarder la situation et de mettre l'action pour changer les choses. 2. Sinon, qu'est-ce qui m'empêche d'être PLEINEMENT heureux? Autant la première question est assez simple à répondre, celle-ci nous oblige à identifier les sources de désagrément qui nous empêchent d’être heureux au travail. Les sources peuvent être multiples : relation avec les collègues, sens à notre travail, conditions dans lesquelles nous devons effectuer les livrables demandés, nos compétences pour effectuer le travail, préoccupation personnelle dans notre vie privée, etc. Notez toutes les sources de désagréments identifiées qui vous empêchent d’avoir le goût de rentrer travailler le matin. Les premières seront assez faciles à trouver. Laissez-vous quelques jours pour compléter votre liste d’irritants qui troublent votre bonheur. Que vous n’ayez que quelques points sur votre liste ou qu’elle s’élève à 25, l’idée est de les aborder un à la fois pour éviter le découragement. Votre bonheur est trop important pour baisser les bras. 3. Quelle est l’action que je peux poser IMMÉDIATEMENT pour corriger la situation? Plusieurs études démontrent qu’un problème pris rapidement est beaucoup plus facile à résoudre qu’un problème qui traine en longueur. Le plus bel exemple serait les suppositions que l’on peut s'imaginer des réactions de nos collègues. Vous ne recevez pas de réponse à votre salutation matinale ni à votre courriel, et tout de suite, plusieurs scénarios de malheur montent à votre esprit et votre zénitude habituelle n’est plus présente. Vous n’avez pas de commentaires sur votre livrable et vous imaginez que le client n’est pas content. C’est sûr que ça perturbe votre bonheur. L’action immédiate que vous pouvez faire est d’aller valider rapidement auprès de la personne concernée, si votre perception est la bonne et s’assurer d’arrêter la machine à penser. S'il s`avère que la personne n`est pas pleinement satisfaite, vous pourrez corriger le tir rapidement et votre collègue ou client sera content de la prise en charge de la situation. Si votre perception est mauvaise, vous retrouverez tout de suite votre sérénité. La situation traîne depuis longtemps, une bonne discussion franche et sincère permettra de faire connaître votre malaise et vous pourrez constater la volonté de part et d’autre pour trouver une solution. Peu importe le résultat, vous serez toujours gagnant d’avoir pris les devants pour discuter du problème. 4. Si je ne peux rien faire, y a-t-il quelqu’un qui peut m’aider ? Très souvent, une situation qui entrave notre bonheur au travail impacte également d’autres collègues. Lorsqu’on aborde celle-ci seule, ce n’est pas toujours évident de trouver une solution ou une action à faire rapidement. En discuter avec les collègues apporte souvent des idées qu’on n’aurait pas pensé nous-mêmes et qui exécutées en collégialité ont beaucoup plus d’impact que d’agir seul. Ne jamais sous-estimer la force d’une équipe qui décide de prendre en charge un problème commun. Quelquefois, adresser le problème à la direction peut permettre rapidement des changements qui ramèneront le bonheur dans l’équipe. Demander de l’aide n’est pas un signe de faiblesse et vos collègues vous en seront reconnaissants. Je vous invite à lire mon article sur "Comment contribuer au bonheur de l'équipe?" pour avoir des idées de solutions. 5. Sinon, puis-je changer mon focus de place pour relativiser la situation? Vous avez agi, demandé de l’aide, mais ces actions n’ont rien changé. Vous ne pouvez laisser votre bonheur dans les mains des autres. Vous avez un collègue irritant qui ne veut pas changer suite à votre intervention. Votre bonheur est trop important pour lui permettre de le gâcher. Si vous êtes 10 dans l’équipe, essayez de focusser sur les 9 membres agréables que vous avez le goût de voir le matin, plutôt que sur le confrère ou la consoeur désagréable. Vous avez un mandat moins intéressant pour quelques jours? Trouvez un angle vous permettant de livrer un petit plus pour le client, en sachant très bien que le prochain sera plus pertinent. Conclusion Si vous intégrez ces 5 petites questions quotidiennement, vous réaliserez que vous ne laisserez plus jamais de situation traîner vous empêchant d’être pleinement heureux au travail. Lorsque vous aurez réglé plusieurs petits irritants, vous constaterez que la majorité d’entre eux ont été réglés facilement ou qu’ils n’étaient que le fruit de malentendus causés par le manque de communication. Si malgré tous ces efforts, vous ne parvenez toujours pas à la paix d`esprit recherchée, un changement d’environnement pourrait s’avérer bénéfique. Comme le disait Georges Soros: « Quand on a compris que le malentendu est le lot de la condition humaine, il n'y a aucune honte à se tromper, mais seulement à omettre de corriger ses erreurs. » Yvon Lamontagne www.yvonlamontagne.com Conférencier, coach et auteur en mieux-être et bonheur au travail On remarque toujours le blagueur qui compte deux ou trois histoires en attendant dans la file de la machine à café et qui met de la bonne humeur dans notre journée. Mais si on n’a pas ce talent, peut-on contribuer au bonheur de nos collègues? Est-ce que le bien-être au travail se limite à rire et avoir du plaisir?
Plusieurs études démontrent les bienfaits du rire sur le corps et son effet anti-stress alors tant mieux si on a un ou plusieurs collègues qui nous dilatent la rate mais au-delà des blagues, il y a une multitude de petites choses que l’on peut faire dans une journée qui agrémente la vie collective et améliore le mieux-être au travail. Si vous attendez que votre responsable d’équipe fasse quelque chose, je vous invite à consulter mon article « Un des secrets du bonheur au travail ». La vraie question que vous devez vous poser est la suivante : « Qu’est-ce que je peux faire avec ma personnalité et mes talents pour contribuer au mieux-être de l’équipe et ainsi au bonheur de tous »? Avec mes nombreuses expériences en milieu de travail, chaque employé, je me répète chaque employé peut contribuer à sa manière à améliorer le climat de travail. Je vous l’accorde, certains employés partent de loin et leur premier pas sera de ne pas détériorer le milieu de travail. On en connaît tous comme ça. Leur part sera de prendre conscience de l’impact négatif de leurs gestes et paroles sur le climat de l’équipe. J’en parle dans mon article « Le négatif au travail, ça se surmonte ». Parlons plutôt de la grande majorité de vos collègues de travail. On passe près du tiers de nos journées au travail et on veut tous, sans exception, que ça se passe bien. C’est long 1500 heures par année lorsqu’on n’est pas bien dans notre milieu de travail. Vous êtes une personne qui aimez aider et qui avez une grande compétence dans votre domaine : chaque fois que vous dépannez un collègue, vous contribuez au bonheur de l’équipe. Vous êtes une personne sensible et à l’écoute : chaque fois que vous prenez du temps pour prendre des nouvelles de votre collègue qui traverse un épisode plus difficile dans sa vie, vous contribuez à l’équipe. Vous êtes un organisateur et un collègue vous indique : « Ça fait longtemps qu’on n’a pas eu de 5 à 7 ». Vous réservez illico une place et faites une invitation à tous vos collègues, vous favorisez la chimie de l’équipe. Vous appréciez le travail d'un collègue. C'est quand la dernière fois que vous lui avez dit? La reconnaissance est tellement importante. N'assumez pas qu'il le sait. Je n'ai pas entendu souvent quelqu'un se plaindre qu'il reçoit trop de reconnaissance. La reconnaissance attire la reconnaissance. Il y a une multitude de petites actions quotidiennes, hebdomadaires ou mensuelles qui peuvent être posées par chacun. Je pourrais écrire un livre, il n’y a pas de limite. La seule règle qui doit être respectée, c’est d’agir dans les limites de notre personnalité et de notre compétence. Il n’y a pas de grosses et de petites actions, elles sont toutes importantes. Vous allez voir que ça devient contagieux. Lorsqu’on a reçu de l’aide dans une partie de notre travail qui nous donnait un défi, nous allons être rapides à redonner lorsqu’un collègue aura besoin de nos services. Vous ne pouvez imaginer le virage à 180 degrés qui peut s’effectuer en peu de temps. À qui revient la tâche de démarrer tout ça : À VOUS peut-être? Si vous ne le faites pas, qui le fera? Je vous laisse sur cette pensée : Lorsqu’on jette des petits rayons de bonheur dans la vie d’autrui, l’éclat finit toujours par rejaillir sur soi – Louis Fortin Êtes-vous du type : « Au travail, ce sont les jours de vacances que je préfère » ou « Si ton collègue t’agace, évite le travail »? C’est bien beau la citation de Confucius : « Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie » mais quoi faire pour l’appliquer dans notre quotidien et faire une différence dans votre journée au bureau et avoir du bonheur au travail? On a longtemps pensé que c’était le rôle de l’employeur de maintenir un milieu de travail agréable. Ceci à créer une nouvelle maladie du 21e siècle, la stacose. Très répandu, elle est la principale source des absences au travail. Souvent, la stacose s’attaque à un ou deux employés et si elle n’est pas prise à temps, risque de contaminer toute l’équipe. Très sournoise, les symptômes sont mineurs au début mais lorsqu’ils prennent de l’ampleur, les employés atteints sont constamment marabout et de plus en plus désagréables. Le bonheur au travail est mis à rude épreuve. L’employeur est avisé et sommé d’agir rapidement et souvent il est très tard pour juguler la maladie. Qu’est-ce que la stacose? Vous n’êtes pas heureux au travail et que vous dites que « S’tacause de »mon patron, ou « S’tacause de » mon collègue de travail ou « S’tacause que » mon travail n’a pas de sens, « S’tacause de »… alors vous êtes frappé par un début de la maladie. Ne laissez jamais le virus de la stacose vous atteindre. Vous avez la responsabilité de votre bonheur et la pire erreur que vous pouvez faire est de laisser la clé de votre bonheur dans les mains des autres. VOUS êtes la MEILLEURE personne pour savoir ce qui vous rend heureux. Votre collègue de travail ne collabore pas comme vous voudriez? Votre patron est impatient et vous met souvent de la pression. Certains jours, vous avez de la difficulté à mettre un sens aux différentes activités que vous avez à faire? N’attendez pas et agissez rapidement pour faire changer les choses. Comme le disait Blas de Otero : « Chaque minute de cafard vous prive de soixante secondes de bonheur. » Si vous laissez la stacose vous atteindre, vous allez entrer dans un tourbillon de raisons qui ne vous permettra pas de régler seul la situation. Plus vous attendez, pire sera la situation. Gardez la situation en main et agissez sur ce que vous avez du contrôle. Si l’employeur est obligé d’intervenir, généralement, la maladie est très avancée et elle aura contaminé une bonne partie de l’équipe. Comment être proactif pour prendre soin de notre mieux-être au travail et nourrir notre bonheur au travail? Il faut prendre soin du climat de travail et créer un environnement de travail dans lequel on a le goût à chaque matin de retrouver la gang. Si on fait un parallèle avec une équipe sportive, le coach est important pour la structure, la vision et les objectifs mais la chimie appartient au groupe. L’ambiance de travail est très importante à notre bonheur au travail et ça appartient à toute l’équipe de créer des règles et d’assurer de remettre rapidement à l’ordre les membres qui les transgressent. Si vous n’avez pas le goût de retrouver la gang à chaque matin, demandez-vous ce que ça prendrait pour attiser cet esprit d’équipe si important pour alléger le moment passé au bureau. Je suis d’accord que l’employeur peut participer à améliorer l’ambiance en créant des aires de pauses facilitant les rencontres, en mettant en priorité dans ses valeurs la reconnaissance et en travaillant à l’implantation une culture d’entreprise axée sur le bonheur au travail mais vous êtes les acteurs quotidiens de la mise en place de cet environnement. Si VOUS ne le faites pas, qui va le faire? Vous ne savez pas quoi faire pour démarrer la démarche? Réfléchissez à vos plus grandes forces et utilisez-les. Mettez-les au service du bonheur de l’équipe. Je vous invite à lire mon article « comment contribuer au bonheur de l’équipe » pour trouver différentes formules qui correspond aux personnalités variées d’une équipe. C’est quoi votre première petite action que vous allez faire demain? Je vous laisse sur cette pensée de Fabio Volo : « Pendant des années, j’ai attendu que ma vie change. Mais maintenant je sais que c’était elle qui attendait que moi je change. » Yvon Lamontagne www.yvonlamontagne.com Conférencier, coach et auteur en mieux-être et bonheur au travail |
ThèmeCe blog a pour mission de vous donner quelques tactiques simples et payantes pour intégrer le bonheur au travail dans vos habitudes quotidiennes et ainsi améliorer grandement votre qualité de vie actuelle et future. Vous ne trouverez rien de compliqué car je sais qu'il faut démarrer par des actions petites mais payantes. Récents
Mai 2022
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